La pollution générée par une course de Formule 1 dépend de nombreux facteurs, tels que le nombre de voitures en compétition, la distance parcourue, le type de circuit, le type de carburant utilisé, etc. Cependant, plusieurs études ont été menées pour estimer l’impact environnemental de la Formule 1.
Une étude réalisée en 2013 par le cabinet Trucost a estimé que l’empreinte carbone d’une saison de Formule 1, comprenant toutes les courses, les essais et les déplacements, était de 256 551 tonnes de CO2 équivalent. Cela représente l’équivalent des émissions de gaz à effet de serre de 25 000 foyers européens pendant un an.
En ce qui concerne une course individuelle, une étude menée par l’Université de Cardiff en 2019 a estimé que la course de Formule 1 du Grand Prix de Grande-Bretagne avait généré environ 20 000 tonnes de CO2 équivalent, soit l’équivalent des émissions de gaz à effet de serre de 6 000 voitures conduisant pendant un an.
Il est important de noter que ces estimations peuvent varier considérablement en fonction des facteurs mentionnés précédemment, ainsi que des efforts faits pour minimiser l’impact environnemental de l’événement. Les organisateurs de la Formule 1 ont mis en place plusieurs initiatives pour réduire l’empreinte carbone de la compétition, telles que l’utilisation de carburants plus propres, la réduction des déplacements en avion et l’adoption de pratiques durables pour la gestion des déchets et de l’eau.